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Delay the Sadness
Nouvel opus attendu de la Sharon Eyal Dance Company, Delay the Sadness promet un grand moment de virtuosité. Chorégraphe majeure de ces dernières années, Sharon Eyal fait chacune de ses pièces un hommage à la vie.
Sharon Eyal et son compagnon de route, Gai Behar, étaient faits pour se rencontrer : elle danseuse, chorégraphe émergente de la troupe, et lui, commissaire d’événements artistiques et night-clubber. En 2013, ils lancent leur compagnie de danse et n’ont jamais cessé depuis de collaborer sur des projets chorégraphiques d’envergure. Il y aura ainsi la trilogie Love Cycle au succès retentissant, les commandes pour le Nederlands Dans Theater, le Ballet de l’Opéra de Paris ou la GöteborgsOperans Danskompani, sans oublier des pas de côté entre mode et art contemporain. Après le choc de Into the Hairy, S-E-D revient à La Villette présenter Delay the Sadness sur une partition originale de Josef Laimon. Cette nouvelle création très attendue sera animée par un groupe de huit danseuses et danseurs de la compagnie, chacun apportant son énergie et son expression uniques à la pièce. «Permettant une riche interaction entre mouvements individuels et collectifs, créant une mosaïque dynamique d’interactions et de relations, les danseurs seront au coeur de la pièce, leurs corps projetant une émotion qui transcende les mots». Sharon Eyal promet de mettre en scène des corps vibrants, des transes apaisées ou furieuses, une gestuelle tendue à l’extrême d’où jaillit la beauté de l’instant.